La prochaine étape de notre voyage est l'île de Bohol. Le soleil doit normalement revenir cette semaine. Ça n'est pas gagné car la météo Philippines c'est comme météo France, y a un indice de confiance en qui on n'a aucune confiance mais comme on a de la chance depuis le début on se dit avec Jérôme que ça devrait continuer!
Après avoir pris un "super ferry" qui va "super vite", nous débarquons à Tagbilaran. Après 2 ou 3 tampons, raffut, refus aux nombreux tricycles philippins ou autres vendeurs qui nous prennent pour les touristes pigeons que nous sommes, nous tentons d'aller louer deux motos histoire de gagner du temps pour la journée du lendemain. Nous trouvons un p'tit gars (enfin un gars, pas besoin de préciser...) qui nous dit qu'il a deux mobs pour nous. Impec. Nous faisons les papiers et nous voila chacun sur une moto dans la rue de Tagbilaran. Sauf que (et oui, il y a toujours un sauf que...), les motos sont pourries et à sec : pas d'allumage électrique. Tout doit se faire au kick. Pas de klaxon non plus. Et chez ces gens là, monsieur, rouler sans klaxon, c’est courir au suicide. En plus nous sommes chargés comme des mulets avec nos sacs. Jérôme n'a quasiment jamais conduit de deux roues. Le stress monte. Il fait chaud. Il est tard. Il fait nuit. Ça pue...On pue. Demi-tour droite, retournons voir Joj. Jacky a sa 4L, Jojo, lui a deux motos pourries.
Arrivés à l’hôtel, la gentille dame nous dit qu'elle peut appeler quelqu'un qui a deux motos en bon état. Il suffit de lui dire à quelle heure on en a besoin et elle s'occupe de tout. Ok c'est cool. Vive les philippines...
Le lendemain à 7h nous prenons la route pour visiter l'ile de Bohol. Il y a deux incontournables: les tarsiers et les chocolate hills. Les premiers sont de minuscules primates, capable de faire des bonds de 5m et de tourner sa tête à presque 360°. Les seconds sont les emblématiques "collines de chocolat" qui s'étendent à perte de vue.
Après avoir pris un "super ferry" qui va "super vite", nous débarquons à Tagbilaran. Après 2 ou 3 tampons, raffut, refus aux nombreux tricycles philippins ou autres vendeurs qui nous prennent pour les touristes pigeons que nous sommes, nous tentons d'aller louer deux motos histoire de gagner du temps pour la journée du lendemain. Nous trouvons un p'tit gars (enfin un gars, pas besoin de préciser...) qui nous dit qu'il a deux mobs pour nous. Impec. Nous faisons les papiers et nous voila chacun sur une moto dans la rue de Tagbilaran. Sauf que (et oui, il y a toujours un sauf que...), les motos sont pourries et à sec : pas d'allumage électrique. Tout doit se faire au kick. Pas de klaxon non plus. Et chez ces gens là, monsieur, rouler sans klaxon, c’est courir au suicide. En plus nous sommes chargés comme des mulets avec nos sacs. Jérôme n'a quasiment jamais conduit de deux roues. Le stress monte. Il fait chaud. Il est tard. Il fait nuit. Ça pue...On pue. Demi-tour droite, retournons voir Joj. Jacky a sa 4L, Jojo, lui a deux motos pourries.
Arrivés à l’hôtel, la gentille dame nous dit qu'elle peut appeler quelqu'un qui a deux motos en bon état. Il suffit de lui dire à quelle heure on en a besoin et elle s'occupe de tout. Ok c'est cool. Vive les philippines...
Petit déj à Lobok |
Le lendemain à 7h nous prenons la route pour visiter l'ile de Bohol. Il y a deux incontournables: les tarsiers et les chocolate hills. Les premiers sont de minuscules primates, capable de faire des bonds de 5m et de tourner sa tête à presque 360°. Les seconds sont les emblématiques "collines de chocolat" qui s'étendent à perte de vue.
tarsier réveillé |
tarsier endormi |
chocolate hills |
Il est midi à peine et nous avons "plié" les incontournables. C'est très beau mais très très touristiques; Nous devons payer sans cesse des taxes de je ne sais pas trop quoi... "environment fee", "government fee", "touristland fee", bref, on pourrait penser que c'est fait n'importe comment mais en fait pas du tout! Tout est calculé pour vous faire payer au maximum.
les riders |
Sur la route, nous rencontrons la police philippine... "Driving Licence" nous disent-ils et avec le sourire. Moi j'ai pris mon permis. Je lui montre. Il regarde la couverture et la photo. OK. C'est bon. Va comprendre Charles. Le permis est en français et je doute que le policier parle notre langue. Enfin, je dis rien, je souris. Ça se passe moins bien par contre pour Jérôme qui n'a pas pris le sien; ce sera 200 pesos au lieu de 1000! nous dit le flic. C'est commerçant. tout ça.. Jérôme grimpe dans l'estafette et je ne peux pas m’empêcher de demander au flic une petite photo qu'il acceptera avec le sourire comme toujours...
Il est pas beau mon Djédjé |
Il est 14h, et nous arrivons sur la plage d'Anda. C'est magnifique: une vraie carte postale: eau turquoise, sable blanc, cocotiers. et c'est l'heure de la sieste!
Anda beach |
Anda Beach |
Après la sieste, retour à l’hôtel par la route côtière. Différente de la route intérieure, elle est toute fois toute aussi jolie ! Nous roulons vite et c'est un sentiment de liberté que nous procure ces deux petites motos! Super journée; Il est 17h, nous arrivons à l’hôtel. Fatigués, heureux et rouges écrevisse...
Agrandir le plan : Notre trajet en moto
vue de la chambre: pêcheur endormi |
photo de groupe de mamans philippaines |
Micheline qui voulait nous prendre en photo au petit matin |
1 commentaire:
Eh oui Jéjé, on roule pas sans permis, c'est interdit ça !
En tous cas il a vraiment l'air content Mr le Pulisya
Pascal
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